dimanche, septembre 30, 2007
Soirée à Montmartre
Hier soir, après une petite soirée au "Urgence Bar" en compagnie de Florent et Sarah, j'ai rejoint Marjorie et 3 autres Québecois (dont 2, étudiants en échange à Maastricht, étaient de passage à Paris pour le week-end) à Montmartre, devant la basilique du Sacré-Coeur.
Mon c.v. sur monster dès demain
Étant à la recherche d'un emploi, qui dit emploi en France dit Monster.fr ! Je pense que ma dernière expérience sur ce site a réussi à me prouver que la pénurie en informatique existe. La dernière fois, en 2 jours d'activation de mon c.v., ce dernier a été consulté environ 425 fois et j'ai reussi à obtenir près d'une cinquantaine de prise de contacts. À l'époque, je n'avais aucune expérience J2EE. Maintenant, avec 5 mois d'expérience, je m'attend à recevoir au moins la même quantité de prise de contacts et sinon plus. Gageons que j'aurai quelques entretiens dès cette semaine, avant mon départ au Canada.
dimanche, septembre 23, 2007
Souper chez Benjamin
Le lendemain de la soirée avec les Italiens, Benjamin (Frotman) remit ca avec un bon souper chez lui.
samedi, septembre 22, 2007
Party chez Benjamin
Hier soir, Benjamin (alias Frotman) organisa une soirée chez lui. Cette soirée coïncidait avec le match de Rugby France-Irlande dont nous avons regardé en partie. Finalement la France a gagné 25-3. Ca faisait longtemps que je n'avait pas eu la chance d'aller dans ce genre de soirée et cela m'a fait beaucoup de bien en ces jours où je vis certains soucis majeurs à mon travail.
lundi, septembre 17, 2007
Barcelone du 21 au 23 septembre
Après réflexions, j'annule mon idée de voyage à Barcelone que j'avais prévu le week-end prochain.
En effet, la maladie que j'ai traînée durant les 2 dernières semaines a retardé ma prise de décision par rapport à ce voyage. Évidemment, pendant ce temps, les prix ont augmentés...j'ai donc pensé à opter plutôt pour un 2è voyage au Portugal (qui est un peu moins cher que Barcelone) mais, pour des raisons financières évidentes (le mois de septembre en France est le mois de paiement des impôts !), j'ai finalement dû renoncer à mon idée de voyage...mais ce n'est que partie remise ! Et puis il faut dire aussi que Benjamin organise 2 grosses soirées chez lui vendredi et samedi soir prochain.
En effet, la maladie que j'ai traînée durant les 2 dernières semaines a retardé ma prise de décision par rapport à ce voyage. Évidemment, pendant ce temps, les prix ont augmentés...j'ai donc pensé à opter plutôt pour un 2è voyage au Portugal (qui est un peu moins cher que Barcelone) mais, pour des raisons financières évidentes (le mois de septembre en France est le mois de paiement des impôts !), j'ai finalement dû renoncer à mon idée de voyage...mais ce n'est que partie remise ! Et puis il faut dire aussi que Benjamin organise 2 grosses soirées chez lui vendredi et samedi soir prochain.
dimanche, septembre 16, 2007
L'Oktoberfest..c'est confirmé !
Ca y est..ma présence à l'Oktoberfest 2007 à Munich est maintenant confirmée ! J'y serai du 5 au 7 octobre. Après environ 2 semaines d'attente, j'ai finalement réussi à trouver un hébergement cool pour 20 euros/nuit (merci beaucoup Julie...). C'est vraiment de la chance car Dieu sait qu'il faut réserver plus de 6 mois en avance pour espérer d'obtenir des bons tarifs d'hébergements. Ce sera pour moi l'occasion de revoir mon amie Julie (une Québécoise qui fait un Ph. D. là-bas).
samedi, septembre 15, 2007
L'art de se faire arnaquer
Cet après-midi je suis allé à l'épicerie. J'ai payé en argent comptant. Plus tard dans la journée, lorsque j'étais chez moi, je regarde l'argent que j'ai dans mon portefeuille et quelle ne fut pas ma suprise en constatant que j'étais en possession d'une pièce de 5 pesos dominicain (république dominicaine) !
Visiblement, cette pièce m'a été donnée aujourd'hui à la caisse...et elle ressemble drôlement au même design qu'une pièce de 1 euro (mais plus petite)....ce qui explique comment elle a pu circuler.
Maintenant, le seul problème c'est que 5 pesos dominicains valent seulement 0,10 euros ! Je sais pas si j'arriverai à la faire passer avec d'autres pièces de 1 euros demain au marché...
Visiblement, cette pièce m'a été donnée aujourd'hui à la caisse...et elle ressemble drôlement au même design qu'une pièce de 1 euro (mais plus petite)....ce qui explique comment elle a pu circuler.
Maintenant, le seul problème c'est que 5 pesos dominicains valent seulement 0,10 euros ! Je sais pas si j'arriverai à la faire passer avec d'autres pièces de 1 euros demain au marché...
mercredi, septembre 12, 2007
Soirée chez Côme
Samedi soir dernier, Côme organisa une petite soirée chez lui. Par la suite, la soirée s'est transportée vers le café OZ (en théorie car en pratique elle s'est plutôt déplacée vers Bastille dû à des évènements inattendus) mais sans moi (je devais récupérer de ma maladie).
dimanche, septembre 09, 2007
Fête de la bière & Week-end à Ambleteuse
Mes photos de la fête de la bière à Bruxelles se trouvent ici.
Samedi matin (1er septembre), je me suis dirigé vers la gare du nord à Paris afin d'aller prendre mon train Thalys pour Bruxelles. Lorsque j'avais acheté mon billet sur internet, Thalys avait une promotion (1ère classe à 50 %)..si bien qu'il était moins cher d'acheter un billet en 1ère classe qu'en 2è classe. C'est donc en 1ère classe que je fis mon trajet vers Bruxelles. Et la 1ère classe en Thalys n'a rien à voir avec une première classe en TGV (qui consiste simplement en des sièges plus confortables et du tapis sur le sol): j'ai eu le droit à un service de petit-déjeuner (qui était bien copieux) sans compter les journaux mis à disposition et évidemment des sièges plus confortables. Bref, c'était plutôt dans le style de service que l'on pourrait rencontrer dans les compagnies aériennes.
Je suis arrivé à la gare de Bruxelles-midi vers 10h30. La journée commença par quelques prises de photos de la ville et, par la suite, par une visite du palais royal. Il est ouvert seulement durant l'été et malheureusement on ne peut pas prendre de photos. Cependant, on en fait rapidement le tour et la partie visitable est plus portée sur l'exposition de divers objets d'arts que d'autres choses...bref, j'ai compris (et heureusement) pourquoi l'entrée était gratuite.
Après avoir dégusté un cornet de frites (cliché mais typiquement Belge), je me suis redirigé vers la grande-place afin de participer à la fête de la bière. Le concept était simple: plusieurs kiosques alignés sur la grande-place vous font goûter leurs bières...la monnaie d'échange étant des capsules (on achète les capsules dans une section a part). Il devait avoir au moins 200 marques représentées (la liste se trouve ici). J'ai eu la chance de goûter à la Gueuze Tradition, la Kriek Cuvée René, la Grimbergen Dubbel, la "La Chouffe", une Malheur 12° Donker ainsi qu'une Gauloise Blonde.
Vers 16h00, je me suis dirigé vers la gare de Bruxelles. En effet, je devais aller prendre un train en direction de Calais-Frethun afin de rejoindre Côme et plusieurs autres amis qui avaient décidé de passer le week-end à Ambleteuse (les parents de Ludovic possèdent une maison de campagne là bas). Après une courte correspondance en gare de Lille (j'ai eu la chance d'observer pendant mon attente le concert techno qui se déroulait près de la gare pour le week-end de la braderie), je suis arrivé à Calais-Frethun vers 18h. Côme et les autres vinrent me chercher en voiture et nous sommes partis manger à Coquelles. La soirée commença à la maison de Ludovic à Ambleteuse et se continua dans un bar à Boulogne-sur-Mer pour finalement se terminer dans quelques bars à Calais. Je remarqua rapidement que le coût de la vie dans cette région n'a rien à voir avec ce que l'on retrouve à Paris. En effet, non seulement les consommations étaient moins chères mais, en plus, on a été dans des discothèques où l'entrée était tout simplement gratuite (on ne verrait jamais ça à Paris).
Dimanche, après un petit-déjeuner dans un café, nous avons fait un BBQ à la maison. Dans l'après-midi, nous nous sommes promenés sur le bord de la mer avant de rentrer définitivement à Paris.
Bref, ce fut un week-end asser cool qui m'a permis de (re)découvrir Bruxelles et de profiter de l'océan Atlantique (ou plutôt la Manche). Notre maison donnait une vue directement sur la mer et Ambleteuse est située environ à 30 km du tunnel sous la Manche.
Je suis arrivé à la gare de Bruxelles-midi vers 10h30. La journée commença par quelques prises de photos de la ville et, par la suite, par une visite du palais royal. Il est ouvert seulement durant l'été et malheureusement on ne peut pas prendre de photos. Cependant, on en fait rapidement le tour et la partie visitable est plus portée sur l'exposition de divers objets d'arts que d'autres choses...bref, j'ai compris (et heureusement) pourquoi l'entrée était gratuite.
Après avoir dégusté un cornet de frites (cliché mais typiquement Belge), je me suis redirigé vers la grande-place afin de participer à la fête de la bière. Le concept était simple: plusieurs kiosques alignés sur la grande-place vous font goûter leurs bières...la monnaie d'échange étant des capsules (on achète les capsules dans une section a part). Il devait avoir au moins 200 marques représentées (la liste se trouve ici). J'ai eu la chance de goûter à la Gueuze Tradition, la Kriek Cuvée René, la Grimbergen Dubbel, la "La Chouffe", une Malheur 12° Donker ainsi qu'une Gauloise Blonde.
Vers 16h00, je me suis dirigé vers la gare de Bruxelles. En effet, je devais aller prendre un train en direction de Calais-Frethun afin de rejoindre Côme et plusieurs autres amis qui avaient décidé de passer le week-end à Ambleteuse (les parents de Ludovic possèdent une maison de campagne là bas). Après une courte correspondance en gare de Lille (j'ai eu la chance d'observer pendant mon attente le concert techno qui se déroulait près de la gare pour le week-end de la braderie), je suis arrivé à Calais-Frethun vers 18h. Côme et les autres vinrent me chercher en voiture et nous sommes partis manger à Coquelles. La soirée commença à la maison de Ludovic à Ambleteuse et se continua dans un bar à Boulogne-sur-Mer pour finalement se terminer dans quelques bars à Calais. Je remarqua rapidement que le coût de la vie dans cette région n'a rien à voir avec ce que l'on retrouve à Paris. En effet, non seulement les consommations étaient moins chères mais, en plus, on a été dans des discothèques où l'entrée était tout simplement gratuite (on ne verrait jamais ça à Paris).
Dimanche, après un petit-déjeuner dans un café, nous avons fait un BBQ à la maison. Dans l'après-midi, nous nous sommes promenés sur le bord de la mer avant de rentrer définitivement à Paris.
Bref, ce fut un week-end asser cool qui m'a permis de (re)découvrir Bruxelles et de profiter de l'océan Atlantique (ou plutôt la Manche). Notre maison donnait une vue directement sur la mer et Ambleteuse est située environ à 30 km du tunnel sous la Manche.
vendredi, septembre 07, 2007
Pavarotti n'est plus
La voix du «plus grand ténor du monde» s'est tue jeudi en Italie. Le chanteur Luciano Pavarotti est mort à l'âge de 71 ans dans sa ville natale de Modène (nord de l'Italie).
Il avait été opéré d'un cancer du pancréas en juillet 2006, «est mort peu après 23h00 HAE» dans sa propriété à la périphérie de Modène, «une très belle maison à la campagne, entourée de champs et de verdure», a déclaré à l'AFP Giorgio Pighi, maire de la ville natale du chanteur d'opéra.
Pavarotti voulait mourir à la maison. «Je l'avais vu la semaine dernière, il était très éprouvé par la maladie mais il avait envie de faire la conversation. Nous avons même parlé en dialecte local», a raconté le maire de Modène.
«J'espère qu'on se souviendra de moi comme d'un chanteur d'opéra, comme représentant d'une forme d'art qui a trouvé sa plus forte expression dans mon pays, l'Italie», avait écrit Pavarotti sur son site Internet à l'époque où il entamait son tour d'adieu en 2004, interrompu en juillet 2006 pour des raisons de santé.
Pour le grand metteur en scène italien Franco Zeffirelli, «il y avait des ténors et il y avait Pavarotti».
La célèbre soprano italienne Mirella Freni a confié avoir perdu «un grand ami» en la personne de Luciano Pavarotti.
«Nous avons perdu un grand ténor, un grand chanteur, mais moi j'ai perdu un grand ami», a-t-elle déclaré.
Le Royal Opera House de Londres a également rendu hommage au ténor, «l'un de ces rares artistes qui touchaient la vie de gens de tous horizons dans le monde entier».
Le groupe d'édition italien Poligrafici a annoncé une édition spéciale et gratuite de ses quotidiens - QN, Resto del Carlino, La Nazione, Il Giorno - consacrée au décès du ténor.
Une opération du dos, début 2006, puis du pancréas quelques mois plus tard, avaient contraint le ténor à abandonner une grande tournée d'adieux de 40 concerts dans le monde entier, qu'il avait entamée en mai 2004. Depuis, il n'était plus apparu en public.
Peu de temps après la dernière intervention, Pavarotti avait exprimé dans La Presse le souhait de reprendre, début 2007, sa tournée d'adieu, mais n'aura jamais réussi à concrétiser ce voeu.
Au début de l'été, au cours d'une cérémonie musicale en l'honneur du ténor sur l'île d'Ischia près de Naples (sud), son épouse avait assuré que son mari se sentait bien et préparait un disque.
«On ne peut jamais rien dire avec cette maladie, mais je pense que Luciano s'en sortira, il va bien. Il achève le cinquième cycle de chimiothérapie, il n'a pas perdu un cheveu et surtout il n'a pas maigri», avait-elle déclaré.
Né le 12 octobre 1935 à Modène (nord de l'Italie), Luciano qui se destinait d'abord à l'enseignement, avait opté définitivement pour le chant en 1961.
Il a su populariser son art dans des stades combles en trio avec ses complices Placido Domingo et José Carreras et aura vendu des millions de disques classiques.
Voulant absolument chanter avec Bono, Luciano Pavarotti avait été l'invité remarqué de l'album Passengers: Original Soundtracks 1 en 1995. En retour, le tenor avait invité Bono et The Edge à l'un de ses concert à Modène (Italie) en faveur des enfants victimes de la guerre pour interpréter One et Miss Sarajevo.
En 2005, Luciano Pavarotti chantait un Ave Maria avec Bono sur la face B de Sometimes You Can’t Make It On Your Own.
Amoureux des pur-sang, des pâtes fraîches et des bons vins, ce géant d'1,90m (pour un poids variant entre 85 et 130 kg), surnommé aussi «Big Luciano», était père de quatre filles et grand-père.
Pavarotti avait eu trois filles avec sa première épouse Adua Veroni. Il s'était remarié en décembre 2003 avec son ex-collaboratrice Nicoletta Mantovani, de plus de 30 ans sa cadette, avec laquelle il a eu une petite fille.
Il avait été opéré d'un cancer du pancréas en juillet 2006, «est mort peu après 23h00 HAE» dans sa propriété à la périphérie de Modène, «une très belle maison à la campagne, entourée de champs et de verdure», a déclaré à l'AFP Giorgio Pighi, maire de la ville natale du chanteur d'opéra.
Pavarotti voulait mourir à la maison. «Je l'avais vu la semaine dernière, il était très éprouvé par la maladie mais il avait envie de faire la conversation. Nous avons même parlé en dialecte local», a raconté le maire de Modène.
«J'espère qu'on se souviendra de moi comme d'un chanteur d'opéra, comme représentant d'une forme d'art qui a trouvé sa plus forte expression dans mon pays, l'Italie», avait écrit Pavarotti sur son site Internet à l'époque où il entamait son tour d'adieu en 2004, interrompu en juillet 2006 pour des raisons de santé.
Pour le grand metteur en scène italien Franco Zeffirelli, «il y avait des ténors et il y avait Pavarotti».
La célèbre soprano italienne Mirella Freni a confié avoir perdu «un grand ami» en la personne de Luciano Pavarotti.
«Nous avons perdu un grand ténor, un grand chanteur, mais moi j'ai perdu un grand ami», a-t-elle déclaré.
Le Royal Opera House de Londres a également rendu hommage au ténor, «l'un de ces rares artistes qui touchaient la vie de gens de tous horizons dans le monde entier».
Le groupe d'édition italien Poligrafici a annoncé une édition spéciale et gratuite de ses quotidiens - QN, Resto del Carlino, La Nazione, Il Giorno - consacrée au décès du ténor.
Une opération du dos, début 2006, puis du pancréas quelques mois plus tard, avaient contraint le ténor à abandonner une grande tournée d'adieux de 40 concerts dans le monde entier, qu'il avait entamée en mai 2004. Depuis, il n'était plus apparu en public.
Peu de temps après la dernière intervention, Pavarotti avait exprimé dans La Presse le souhait de reprendre, début 2007, sa tournée d'adieu, mais n'aura jamais réussi à concrétiser ce voeu.
Au début de l'été, au cours d'une cérémonie musicale en l'honneur du ténor sur l'île d'Ischia près de Naples (sud), son épouse avait assuré que son mari se sentait bien et préparait un disque.
«On ne peut jamais rien dire avec cette maladie, mais je pense que Luciano s'en sortira, il va bien. Il achève le cinquième cycle de chimiothérapie, il n'a pas perdu un cheveu et surtout il n'a pas maigri», avait-elle déclaré.
Né le 12 octobre 1935 à Modène (nord de l'Italie), Luciano qui se destinait d'abord à l'enseignement, avait opté définitivement pour le chant en 1961.
Il a su populariser son art dans des stades combles en trio avec ses complices Placido Domingo et José Carreras et aura vendu des millions de disques classiques.
Voulant absolument chanter avec Bono, Luciano Pavarotti avait été l'invité remarqué de l'album Passengers: Original Soundtracks 1 en 1995. En retour, le tenor avait invité Bono et The Edge à l'un de ses concert à Modène (Italie) en faveur des enfants victimes de la guerre pour interpréter One et Miss Sarajevo.
En 2005, Luciano Pavarotti chantait un Ave Maria avec Bono sur la face B de Sometimes You Can’t Make It On Your Own.
Amoureux des pur-sang, des pâtes fraîches et des bons vins, ce géant d'1,90m (pour un poids variant entre 85 et 130 kg), surnommé aussi «Big Luciano», était père de quatre filles et grand-père.
Pavarotti avait eu trois filles avec sa première épouse Adua Veroni. Il s'était remarié en décembre 2003 avec son ex-collaboratrice Nicoletta Mantovani, de plus de 30 ans sa cadette, avec laquelle il a eu une petite fille.
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