Ci dessous, un article vu sur Yahoo:
FRANCFORT (Reuters) - La route menant à Berlin et à la finale de la Coupe du monde s'est en partie ouverte à l'équipe de France qui a mis le Brésil, tenant du titre et grandissime favori du tournoi, sur le bas-côté samedi.
L'exploit réussi par les hommes de Raymond Domenech a fait chavirer, à distance, tout un pays qui n'attendait que cela pour oublier des années de déception.
La victoire (1-0), si elle fut tout sauf flamboyante, a fait apparaître une formation sûre d'elle-même, solidaire et animée d'une volonté de fer, métal dans lequel est trempée sa défense.
Elle a surtout achevé de transformer une candidate vieillissante, qui avait eu toutes les peines à s'extraire du premier tour, en un vainqueur potentiel, savourant une seconde jeunesse.
"Nous restons une équipe modeste et très humble", s'est empressé de préciser Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF.
"Nous avons connu des difficultés face à des adversaires réputés plus petits. On se méfie de tout le monde. On a très peu d'arrogance et beaucoup d'humilité", a-t-il ajouté.
"Maintenant, on croit à la victoire finale, et c'est normal", a-t-il pourtant tenu à préciser, dans l'euphorie d'une qualification superbe.
Sortir le Brésil était certainement le rêve de toutes les nations engagées dans cette Coupe du monde mais ce privilège est à nouveau revenu à la France, véritable bête noire des Auriverde.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire