mardi, octobre 31, 2006

Débarbouillette vs gant de toilette

Depuis avril 2000, premier moment dans ma vie où j'ai eu l'occasion de visiter la France, je me suis rapidement rendu compte de la quantité phénoménale d'expressions et de sens de mots qui sont différent entre le Québec et la France...si bien qu'on peut classer le québécois comme une langue à part (d'ailleurs il existe des dictionnaires français-québécois publiés par Larousse et Robert). Aujourd'hui, lors de différentes discussions pendant la pause café avec mes collègues de travail, c'était au tour du mot débarbouillette à être inconnu en France ! D'ailleurs, cela a pris un certain temps pour me faire comprendre (je tentais en vain de donner une définition précise à mes collègues mais bon...). Finalement, c'était pour découvrir que l'équivalent en france s'appelle "gant de toilette" et que, contrairement au Canada, les "débarbouillettes" en France viennent toujours accompagnées d'un emplacement pour insérer sa main...logique vous allez me dire ! Mais bon...au Canada on peut les retrouver avec ou sans emplacement pour insérer sa main.....

Autres pays...autres cultures....

C'est l'Halloween...

Au cas où mes amis français l'auraient oublié, c'est l'halloween aujourd'hui. Pour mes compatriotes québécois, cela semble évident. Mais pour le commun des français, c'est tout autre chose. D'ailleurs, plusieurs collègues de travail semblaient avoir oublié aujourd'hui cette fête...

Il faut dire que l'halloween, provenant de traditions celtiques, a été introduite massivement en Amérique du Nord par l'immigration irlandaise au 19è siècle, suite à la maladie de la pomme de terre que subissait l'Irlande. Introduite en europe il y a 10 ou 15 ans, cette fête connu un boom surtout les premières années. Comme l'a indiqué Blue dans un article, aujourd'hui cette fête ne "pogne" guère plus ici....On peut considérer qu'on est revenu à la "case départ". Traditionnellement, en France, c'est plutôt le 1er novembre (la fête de la Toussaint) qui est célébrée...dailleurs, le 1er novembre est férié et les gens ont l'habitude de se rendre dans les cimetières à cette occasion. Autres pays...autres cultures !

dimanche, octobre 29, 2006

De retour de Grenoble

Comme prévu, j'étais de passage mardi et mercredi dernier à Grenoble, dans le cadre de mon travail. C'était la 1ère fois de ma vie que j'avais l'occasion de venir faire un tour dans cette ville et les seuls commentaires que j'avaient eu jusqu'à maintenant étaient plutôt dans le style "ah...Grenoble c'est moche" ou bien "ah...Grenoble c'est une ville polluée". Hey bien, pour avoir passé 2 jours dans cette ville, bien que j'ai pas vraiment eu l'occasion de bien la visiter, je peux dire que Grenoble est beaucoup mieux par rapport à ce que je m'attendais. Effectivement, ça ne semble pas une ville possédant beaucoup de choses a visiter mais j'ai bien aimé le contraste "ville entourée de montagnes". Comme quoi, il ne faut pas toujours se fier aux clichés que l'on entend parfois...

Redevance audiovisuelle: fin de l'affaire...

Après réflexions, en ce qui concerne la taxe d'habitation que l'administration française me demande (par rapport à mon ancienne colocation à St-Maur), je suis venu à la conclusion qu'il vaut mieux être honnête plutôt que d'essayer de faire croire que j'ai habité seulement quelques semaines à St-Maur avant mon logement actuel (ca compliquerai les choses selon moi...). En conséquence, bien que je n'étais pas sur un bail dans mon ancienne colocation, j'ai accepté de payer cette fameuse taxe d'habitation afin d'espérer de régler définivement cette nouvelle "saga" avec l'administration française. Par contre, comme prévu, j'ai bien pris soin d'indiquer, lors de mon envoi, que je ne possède pas de tv à mon nom (ce qui est vrai) et que je considère que je ne dois payer la redevance audiovisuelle que me réclame.

vendredi, octobre 27, 2006

Victoire pour la multinationale Québécoise Bombardier Transport

Comme prévu, Bombardier Transport a décroché mercredi l'important contrat du train de banlieue parisien.

Pour la multinationale québécoise, il s'agit d'une affaire de 2,7 milliards d'euros (3,95 milliards $ CAN), dont 1,35 milliard d'euros (2,0 milliards $ CAN) pour la première phase portant sur la construction de plusieurs centaines de rames automotrices pour le réseau Transilien.

Ce contrat n'aura aucune retombée au Québec. Les rames ont été conçues et seront presque entièrement construites en France, plus précisément dans les installations de Bombardier situées à Crespin, dans le nord du pays.

En annonçant leur choix et en dévoilant la maquette grandeur nature du nouveau train, les responsables de la SNCF et de la région Ile-de-France, tout comme le président de Bombardier Transport, André Navarri, se sont appliqués à rassurer les Français sur les conséquences du choix du constructeur québécois en matière d'emploi.

Eventée depuis quelques jours, confirmée à l'avance par le ministre des Transports français, cette décision a été sévèrement critiquée en effet non seulement par le patron du concurrent français Alstom, Patrick Kron, mais aussi par les milieux politiques et syndicaux. L'Etat et la Société nationale des chemins de fer ont été accusés de priver Alstom d'une vitrine internationale, notamment sur le marché chinois. Les syndicats, s'inquiétant pour les 700 emplois de l'usine alsacienne d'Alstom, se sont dits "scandalisés" de voir que "l'impôt des Français n'aide pas les entreprises françaises".

Affichant sa déception, Alstom s'est estimé pour sa part victime d'une concurrence déloyale, accusant Bombardier de profiter de ses contrats à Montréal et à Toronto, attribués sans appel d'offres, pour proposer des prix inférieurs sur les marchés étrangers. Patrick Kron a indiqué mercredi qu'il avait demandé que soient examinées "les conditions d'attribution de ce contrat".

Pour André Navarri, ces déclarations, faites sur fond de "patriotisme économique", sont en fait un "faux débat". Bombardier Transport, dont le prix de soumission était de dix pour cent inférieur à celui de son principal concurrent, est une société française, a-t-il fait remarquer, en rappelant que le groupe est numéro un à l'échelle européenne et numéro deux en France.

"Quatre-vingt-cinq pour cent des éléments des nouveaux wagons seront construits en France. Le reste en Europe", a-t-on fait valoir chez Bombardier. Cela assure la pérennité des 1600 emplois de l'usine de Bombardier à Crespin pour les dix prochaines années, ont rappelé non seulement André Navarri mais aussi la grande patronne de la SNCF, Anne-Marie Idrac.

Il semble acquis toutefois que Bombardier partagera le gâteau avec Alstom à travers des contrats de sous-traitance, dont l'importance reste toutefois à préciser.

Le contrat prévoit la livraison de 172 rames automotrices ultramodernes, colorées et dotées de larges baies vitrées. Elles vont remplacer les "petits gris", vieux wagons en inox ondulé qui tiennent davantage du train à marchandise. Une seconde tranche de 200 rames est prévue, le tout devant être livré entre 2009 et 2015.

Pour Bombardier, il s'agit d'une victoire hautement stratégique. Elle confirme d'une part le poids qu'a pris le constructeur en France, tout en scellant, d'autre part, la fin du monopole d'Alstom en Ile-de-France, la plus riche des régions françaises avec ses 11 millions d'habitants. Soixante pour cent des trains gérés par la SNCF circulent dans cette seule région.

lundi, octobre 23, 2006

Mariage ordinaire et très ennuyant à St-Cyr-sur-mer

Comme prévu, ce week-end avait lieu le mariage de Philippe, un ancien ami que j'avais connu à lors de mon échange étudiant en France, en 2001. À ce sujet, nous étions plusieurs ami(e)s de l'UTC à être présents: Hélène, Agnès D., Arthur, Agnès L.....

Jusqu'à tout récemment, Philippe était un bon ami à moi: nous avions vécu de très bons moments ensemble.....

Samedi matin, après un réveil super matinal (on parle de 5h45...), je suis parti en direction de la gare de Lyon à Paris afin de prendre mon TGV pour aller à Marseille. Quelques jours avant mon départ, Agnès D., Arthur ainsi que quelques autres amis de l'UTC avions convenu de se rejoindre à la gare de Marseille à 12h30. Mon train parti vers 7h20 et, 3 heures plus tard, me voici rendu à Marseille St-Charles, avec 2 heures d'attente avant l'arrivée des autres "Utcéens". Je profite alors de l'occasion pour prendre alors quelques photos de Marseille (voir ci-dessous).

Une fois Arthur, Agnès D. et Agnès L. arrivés à Marseille, après avoir pris possession de notre voiture louée, nous sommes partis en direction de St-Cyr-sur-mer (situé à 1/2 heure de Marseille). Simplement pour aller prendre l'autoroute, la circulation dans Marseille fut très difficile (ça ressemblait par moments presque qu'au genre de traffic parisien...) principalement à plusieurs travaux routiers en plein centre-ville.

Arrivés à St-Cyr, nous nous sommes dirigés vers notre centre d'hébergement (un espèce de semi-camping possèdant des maisons mobiles (mobiles homes pour mes amis français)). Dans la voiture, Agnès D. me demande soudain "est-tu invité au dîner ?" (i.e. souper). Je lui réponds: "ben, jsais pas, sur mon carton d'invitation c'était marqué "cocktail+soirée vers 23h"". Elle me dit "ben Agnès L., elle a reçue une invitation qui parlait de buffet..". Moi et Agnès, nous n'avions effectuement pas reçu ce genre de carton. Agnès D me dit alors "ben faudra trouver un resto alors....". Sur le coup, je trouve ça un peu étrange et jme dis: "ben, on verra en temps et lieu si nous sommes invités ou pas".

Par la suite, nous nous dirigeons vers l'église de St-Cyr où la cérémonie du mariage avait lieu vers 16h. Comme au mariage de Germain, l'été dernier au Mexique, il n'y a pas eu d'échanges de baisers après l'échange des voeux et des alliances. De plus, je fus impressionné de constater que, lors de la communion, une bonne proportion de fidèles communiaient en recevant l'hostie dans la bouche (comme à l'ancienne) et non pas en la recevant dans la main. Après la cérémonie, lors de quelques discussions, j'ai compris en fait qu'il y a quelques différences culturelles entre les mariages dans les pays de traditions anglo-saxonnes (comme le Canada) et les pays de traditions "latines" (comme la France). En effet, contrairement au Canada, l'échange de baisers après la bénédictions des alliances n'est pas chose courante en France.....

Après quelques séances de photos à la sortie de l'église, la célébration du mariage se continua dans un village près de St-Cyr avec le fameux vin d'honneur. Vers 20h30, je commence à m'apercevoir que les gens commencent à se diriger vers la salle adjacente pour le repas. Agnès D. me demande alors de vérifier sur les listes si nos noms sont présents ou pas. Après vérification, je m'aperçois que beaucoup de gens de l'UTC comme Hélène, Aude ou Agnès L. sont sur les listes mais effectivement moi, Arthur et Agnès L. ne sommes pas mentionnés dans la liste...visiblement nous sommes "exclus" du souper mais invités au dessert+le restant de la soirée. Un peu vexé, je me dis: "bon, on ne dois pas être les seuls Utcéens à ne pas être invités...". Arthur, Agnès et moi, nous décidons alors d'essayer de trouver un resto...dans ce coin de village complètement désert (on est en dehors de la haute saison, les touristes ne sont pas la...le village est "mort"). Finalement, on réussi à trouver un resto (une pizzeria en fait !) à Sanary-sur-mer où j'ai eu l'occasion de manger...des moules frites ! Tout un repas..pour un soit-disant mariage ! Et ne parlons pas du vin du resto qui était carrément dégeu.

Après le repas, nous décidons de nous promener un peu sur le bord de la mer (voir les photos nocturnes ci-dessous). De retour, dans le stationnement de l'endroit où avait lieu la soirée du mariage, après une petite sieste dans la voiture de location, nous décidons de revenir à la soirée. Il est alors aux alentours de 23h30. En voyant la salle de réception, une image me vient à l'esprit. J'ai l'impression de vivre le même genre de sensation que l'on peut ressentir sur une compagnie aérienne, par exemple: Alors que nous étions obligés de manger de la bouffe de qualité moyenne (voir ici l'analogie avec la classe économique d'une compagnie aérienne), d'autres personnes très chanceuses ont le fameux privilège de bien manger et de boire du champagne (voir ici la classe "affaires" d'une compagnie aérienne).

Au moment où j'entre dans le bâtiment, je croise Philippe qui me dit "ah ! entrez, il y a du dessert pour tout le monde ". Je ne réponds pas....par curiosité, je regarde en détail une deuxième fois, la liste des convives pour le souper. Je découvre avec horreur que, en fait, parmis tous les Utcéens qui étaient invités au mariage, seulement moi, Arthur et Agnès ont été exclu du souper. Pourquoi nous ? Depuis les dernières années, moi et Philippe avions toujours été de très bons amis.....pourquoi moi ?

Quelques temps avant le mariage, j'ai été contacté pour apporter ma participation à une chanson que nous avions construite en l'honneur de Philippe ainsi que pour apporter ma contribution à une diaporama de photos de Philippe et/ou de sa femme. Dans la salle de réception, c'est avec horreur que j'apprend que ces 2 animations ont été produites durant le souper...en mon absence. Avoir su, je n'aurai pas apporté ma contribution ! Vers 1h du matin, plusieurs Utcéens commencent à partir...évidemment étant exclu du souper, c'est à peine si j'ai eu l'occasion de leur parler. Vers 2h30, moi, Agnès D et Arthur, quittons la soirée pour aller se coucher. Mon sentiment est alors une grande blessure dans mon coeur...comme si quelqu'un m'avait poignardé.

Le dimanche matin, j'ai été prendre le petit déjeuner avec Arthur, Agnès D et Sébastien un ami de Philippe. Ce fut l'occasion pour moi de découvrir qu'en France (contrairement au Canada), les cafés ne proposent pas de menu au client...

Nous avons passé une partie de l'après-midi, sur le bord de la plage à "Les Lecques" avec des ami(e)s de Philippe & Véronique (sa femme). Pendant quelques discussions, certains commencèrent à parler du bon repas de mariage de la veille...ce qui permis de remuer le couteau dans ma plaie profonde ! Par la suite, Sébastien, moi et les 2 Agnès repartirent vers Marseille où nous avons eu la chance de discuter un peu chez les parents de Sébastien. Enfin, vers 20h00, je me suis dirigé vers la gare afin de prendre mon TGV pour revenir à Paris.

Pour faire un résumé de ce mariage, plusieurs d'entre-vous vont surement se demander:
- "Mais pourquoi réagis-tu mal ainsi ? C'est normal de ne pas être invité au repas d'un mariage"
- "Tu n'a connu Philippe que 6 mois, c'est normal de n'avoir pas été invité au souper"
- "A 100 euros l'assiette, tu comprendras qu'il ne pouvait inviter tout le monde"
- "C'est déjà bien d'être invité au vin+la soirée"
- "Si tu savais que tu n'étais pas invité au souper, pourquoi tu est venu quand même ?"

À ceux là je réponds:

Dans ma vie, jusqu'à maintenant, j'ai été dans une bonne dizaine de mariages. J'ai vu plusieurs formes: allant de la réception de mariage avec le bar payant et les sandwichs "en triangle" à la réception grandiose au Ritz-Carleton de Montréal. Je peux comprendre qu'une "sélection" d'invités soit faite entre le vin d'honneur et le restant de la soirée. Mais je trouve (et la majorité des gens dans mon entourage pensent la même chose) qu'inviter quelqu'un au vin d'honneur et à la soirée sans l'inviter au souper est d'une impolitesse incroyable ! C'est genre "exclure" un invité pendant un créneau horaire de 2 ou 3 heures, le temps de se bourrer un peu la gueule...et de le réintroduire après. L'exclusion "partielle", c'est du n'importe koi...faut mieux exclure totalement que partiellement. J'aurais préféré ne pas du tout être invité la soirée..comme ca, j'aurai pu repartir vers Marseille tout de suite après le vin d'honneur. Et puis, imaginez, si je n'avais pu être avec Arthur et Agnès et une voiture de location...comment j'aurais fait pour aller souper ? Nous étions quand même dans un village reculé, dépourvu de restos à plusieurs km.

Jusqu'à tout récemment, Philippe et moi, nous avions une très bonne relation d'amitié (enfin, c'est ce que je croyais). Ce n'est pas tant le fait de ne pas avoir été invité au souper qui me choque mais bien de constater que tous les utcéens présents (sauf moi, Agnes et Arthur) étaient invités au souper. À l'UTC, nous étions une "gang" d'amis...rassemblés ! Exclure des gens de "cette gang" de l'UTC a été pour moi, comme si une division avait été créée dans le groupe. Ne pas m'avoir invité au souper c'était comme si on me disais "ton amitié envers Philippe n'est pas aussi importante que l'amitié entre Philippe et Hélène (autre amie de la gang de l'UTC) par exemple". En moins de 6 mois, j'avais développé une très bonne relation avec lui, à chaque fois que je revenais visiter la france, on se voyait...on a été à Taizé ensemble...on même organisé une rencontre d'Utcéens à Compiègne, en novembre 2003, tout simplement pour souligner mon passage en France. Notre lien d'amitié semblait quand même fort. Et que l'on ne vienne pas me dire que j'ai été exclu à cause que je l'ai cotoyé seulement durant 6 mois....j'ai bien "cotoyé" d'autres Utcéens pendant seulement 6 mois comme Germain ou Hélène et ils m'ont pourtant invités à leur mariage respectif avec le souper compris. La différence avec Philippe c'est que eux, ont compris, que malgré la distance Canada-France qui nous séparait, que l'on peut être de très bons amis proches et que notre amitié est asser importante pour que je sois invité à partager un moment de bonheur avec eux, grâce au souper du mariage. Il n'ont pas fait preuve d'impolitesse.
Que l'on vienne pas me dire qu'inviter quelqu'un à une soirée et un vin d'honneur que c'est "nécessairement" le considérer comme un ami. Bien des mariages où je suis allé où c'est justement à ce niveau qu'on fait la différence entre les invités "connaissances" et "amis". On invite les connaissances+amis au souper et les connaissances seulement au vin....Ainsi, moi j'interprète que Philippe me considère comme une simple connaissance...

Oui, on peut dire qu'il fallait faire une division a quelque part...mais pas au sein d'une même gang d'amis...c'est un manque de classe total. Et que l'on vienne pas me dire qu'il manquait de places dans la salle, car c'est faux. Sur la liste, il y avait même une table réservée pour les bébés..cherchez à comprendre la logique... !

Je ne savais pas que la soirée aller se dérouler ainsi. Sur mon carton, quand j'avais lu "cocktail et soirée" (écrit à la main)..je me suis dit que le souper devait bien être inclus à quelque part la dedans. Jamais je n'aurait pensé que Philippe me considerait que notre amitié est moins importante que ce que je m'y attendais....

À l'extrême, j'aurais compris que tous la majorité des Utcéens ne soient pas invités au repas...ca nous aurait mis "sur le même pied d'égalité" étant donné que nous étions "une gang d'amis".
Le comportement de Philippe m'a profondément blessé et ce week-end metta un terme malheureux à une bonne relation de presque 6 ans que je désirais continuer à entretenir. Imaginez si j'étais descendu du Canada exprès pour son mariage ? Comment la blessure aurait été plus profonde ?

Avoir su, j'aurais mieux fait de rester ce week-end sur Paris à faire un party samedi soir avec Côme et quelques autres bons amis..... Avec le mariage de Catherine (une ex-amie qui avait fait un mariage dans le style "bar payant avec des sandwichs en triangle"), c'est le pire mariage de ma vie auquel j'ai assisté.

Merci de me laisser vos commentaires si vous le désirez...